JEAN, un adhérent FGB de longue date, est un adepte occasionnel de l’ « HAPPY-CULTURE ». Il possède quelques ruches dans son marais et fait son miel des petits bonheurs de l’existence. Il nous a gentiment proposé de partager son « hobby » en venant nous parler de ses abeilles, lors d’une conférence gratuite, le vendredi 6 mai à 18 h à la Maison des Associations. Et, si la conférence était en français, les abeilles, elles, étaient des abeilles anglaises, les BUCKFAST ! (Voir l’article de Wikipedia : LIEN

Chacun sait combien la survie des abeilles est cruciale pour l’environnement. A commencer par EINSTEIN qui avait déclaré, en son temps, que « si l’abeille disparaissait de la surface du globe, il ne resterait plus que quatre ans à l’homme. Plus d’abeilles, plus de pollinisation, plus de plantes, plus d’animaux, plus d’homme. »

L’abeille, comme chacun sait, est ce petit insecte de type hyménoptère, à corps velu, complètement noir ou marqué de jaune ou d’orangé, et doté d’un aiguillon abdominal chez la femelle, qui butine les fleurs pour en récolter le pollen et le nectar qu’il transforme en miel et qui, selon les espèces, vit en solitaire ou en société durable bien organisée.

Après avoir assisté à la présentation de Jean, vous savez tout, ou presque, sur les abeilles et vous savez même que SHAKESPEARE les a évoquées dans sa pièce ‘Henry V’ – acte I, scène 2. « Ainsi travaillent les abeilles que la nature a voulu offrir à l’homme comme un exemple de l’ordre qui doit régner dans un état populeux »). Vous aurez aussi appris quelques expressions idiomatiques anglaises telles que ‘to be as busy as a bee’; ‘Queen bee’‘to have a bee in the bonnet’; ‘to be the bees’knees’; ‘to be taught the birds and the bees’.

A l’issue de la conférence, DIDIER, un auditeur attentif en a rédigé un résumé humoristique. A découvrir ici : LIEN